MODERNA DANS LA TOURMENTE

Vaccin Moderna : la Suède suspend son administration jusqu’à nouvel ordre

Depuis le début du mois d’octobre, l’administration du vaccin Moderna a été interrompue en Suède et les autorités sanitaires suédoises vont même aller jusqu’à étendre cette suspension. Cette décision fait suite au constat croissant d’inflammation cardiaque décelée surtout au niveau de ceux âgés de moins de 30 ans.

Des risques d’inflammations cardiaques

Comme la Finlande, la Norvège et le Danemark, depuis la date du 06 octobre 2021, la Suède a opté pour la suspension du vaccin Moderna pour les individus âgés de moins de 30 ans jusqu’au 1er décembre. En effet, suite à l’administration de la seconde injection du vaccin, chez certains sujets jeunes personnes, des signes d’inflammations du myocarde et du péricarde ont été observés.

C’est dans cette même optique que l’Autorité de Santé Publique Suédoise a décidé d’annoncer jeudi que cette suspension va se prolonger sine die, il s’agira ainsi de « mettre en pause l’usage du vaccin Spikevax de Moderna pour tous ceux nés en 1991 et après, par principe de précaution». En amont, la FDA souligne que ” Le risque observé est plus élevé chez les hommes de moins de 40 ans par rapport aux femmes et aux hommes plus âgés».

Pour justifier ce choix, l’autorité sanitaire suédoise souligne qu’il existe des données qui établissent un lien de causalité entre le vaccin Moderna et les inflammations cardiaques, ce qui veut dire donc que le risque d’apparition d’effets secondaires est bel et bien réel, même si les données n’ont pas encore été portées à la connaissance du grand public.

Outre la Suède, la Finlande, le Danemark et l’Islande ont aussi choisi de rester sur leur garde et donc d’opter pour les mêmes mesures. La Norvège, de son côté, ne recommande pas le vaccin Moderna pour les moins de 30 ans, sans pour autant s’initier dans le choix de chacun.

Le malheur de Moderna fait le bonheur de Pfizer

Le constat n’est pas nouveau, car depuis plusieurs mois déjà, le vaccin Moderna a suscité l’intérêt de plusieurs comités scientifiques compte tenu des données qui démontrent l’apparition de plusieurs pathologies sur les hommes après son administration sur ces derniers : myocardite, inflammation musculaire cardiaque, inflammation de la poche qui entoure l’organe du cœur, péricardite …

Dans la même lancée, les statistiques du Vaccine Adverse Event Reporting ou VAERS (compris dans le CDC) mettent en lumière 7 439 décès signalés suite à l’administration d’un vaccin, ce qui représente 20 individus sur 1 000 000. Les chiffres des CDC, quant à eux, admettent 16 101 décès sur un échantillonnage de 1 000 000 de personne. Il demeure toutefois important de rappeler que les dépositions effectuées auprès du VAERS ne font pas l’objet d’un contrôle du CDC, raison pour laquelle l’agence souligne que “les rapports d’événements indésirables au VAERS suite à une vaccination, y compris les décès, ne signifient pas nécessairement qu’un vaccin a causé un problème de santé.”

Les statistiques du comité consultatif des CDC demeurent toutefois unanimes : les taux d’apparition des risques cardiaques rares pèsent principalement chez ceux âgés de 18 à 39 ans ayant opté pour le vaccin Moderna.

Malheureusement aucune incidence sur la suite de la campagne de vaccination

Ces cas d’inflammation cardiaque ont également recensé chez les jeunes de 16-24 ans en Israël. Le ministère israélien de la Santé a signalé qu’il avait trouvé un lien probable avec la maladie chez les jeunes ayant reçu une injection de Pfizer.

Alors que depuis le 15 juin, la vaccination anti-covid est ouverte aux jeunes de 12 à 17 ans, l’Agence européenne du médicament examine actuellement l’autorisation avec le vaccin Pfizer des enfants de 5 à 11 ans.

Même si les plus jeunes enfants ne sont pas enclins à développer des formes aggravées en cas de contraction du virus responsable du Covid-19, dès novembre les Etats Unis s’apprêtent à vacciner les quelques 28 millions d’enfants américains âgés de 5 -11 ans avec le sérum Pfizer. Pfizer , le grand gagnant de cette crise sanitaire.


ENCORE UNE DECISION DE JUSTICE CONTRE LA SUSPENSION

URGENT : L’obligation vaccinale d’une salariée suspendue par la justice

Par Julien G. – Dans une décision rendue le 12 octobre 2021, le Conseil des prud'hommes de Saint-Brieuc a suspendu l'obligation vaccinale d'une salariée refusant la vaccination. Cette obligation de l'employeur à maintenir le contrat a beaucoup de sens car elle pourrait faire jurisprudence pour des milliers de salariés concernés.

1.Le juge suspend l’arrêté de suspension

En arrêt de travail jusqu’au 5 novembre 2021, une secrétaire médicale de l’Association interprofessionnelle de la santé au travail des Côtes d’Armor (AIST22), reconnue comme travailleuse handicapée, refuse de se faire vacciner, alors qu’elle fait partie des personnels soumis à cette obligation selon la loi du 5 août 2021 sur la crise sanitaire.

La salariée dit vouloir attendre la mise sur le marché d’un vaccin Sanofi pour satisfaire à son obligation.

Dans sa décision rendue le 12 octobre 2021, le juge des référés du Conseil des prud’hommes de Saint-Brieuc a donc donné raison à la requérante.

Le conseil des prud’hommes, après avoir constaté que la loi ne précise pas la durée et l’issue de la suspension du contrat de travail faute de vaccination, décide, dans son ordonnance de référé du 12 octobre 2021, de suspendre l’application de l’obligation vaccinale faite à la salariée “jusqu’à la décision du Conseil constitutionnel ou de la Cour de cassation”, les prud’hommes faisant également interdiction à l’employeur de suspendre le contrat de travail de la salariée. 

Si, le 6 novembre, à l’issue de son arrêt de travail, le Conseil constitutionnel ne s’est pas prononcé dans cette affaire, la salariée pourra réintégrer son poste.

2.Une victoire judiciaire qui pourrait faire jurisprudence

La valeur de cette ordonnance n’est que provisoire (article 484 du Code de procédure civil) et n’est pas dotée au fond de l’autorité de la chose jugée, c’est-à-dire que la décision du juge des référés ne s’impose pas aux juges du fond.

L’ordonnance de référé ne tranche donc pas l’entier litige mais elle est cependant exécutoire à titre provisoire.

Les mesures décidées par le juge sont motivées par l’urgence et la nécessité de sauvegarder, au moins jusqu’à l’audience au principal, les intérêts du demandeur.

Devant les Prud’hommes, Me Emmanuel Ludot, avocat du barreau de Reims (Marne), a fait valoir une QPC (Question prioritaire de constitutionnalité). Il demande au Conseil constitutionnel, ou à la cour de Cassation, de statuer pour savoir si la suspension du contrat de travail de sa cliente est conforme à l’engagement de la France de « respecter ou faire respecter les conventions internationales » sur le droit du travail.

 

Si de son côté de la justice administrative fait pour l’instant barrage et refuse de transmettre une QPC à ce sujet pour défaut d’urgence, c’est la 2e fois qu’un juge prud’homal transmet à la Cour de cassation une question prioritaire de constitutionnalité.

Cette ordonnance a donc beaucoup de sens car elle est susceptible de faire jurisprudence si les plus hautes juridictions valident cette décision.

Étant toutefois précisé qu’en droit la jurisprudence n’a pas d’effet obligatoire.


ENCORE UNE VICTOIRE POUR LES AIDES SOIGNANTS

Loire : première victoire en justice pour des agents hospitaliers pas vaccinés contre le Covid-19

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Par France Bleu Saint-Étienne LoireFrance Bleu

Pas vaccinés contre le Covid-19, ces trois agents hospitaliers ont été suspendus mi-septembre par le CHU de Saint-Étienne et l'hôpital de Roanne. Mais le tribunal administratif de Lyon a invalidé leur suspensions ce lundi.

L'hôpital Nord de Saint-Etienne
L'hôpital Nord de Saint-Etienne © Radio France - Jeanne Richard

Depuis le 15 septembre, il faut être vacciné contre le Covid-19 pour travailler à l'hôpital. Les agents hospitaliers qui n'ont pas reçu leurs injections ont donc été suspendus. C'était le cas de trois agents des hôpitaux de Roanne et de Saint-Étienne, jusqu'à hier. Dans un jugement en référé, le tribunal administratif a invalidé leur suspension, parce qu'ils travaillent dans les cuisines des établissements.

Car selon le tribunal administratif, les personnes qui travaillent en cuisine ne sont pas tout le temps au contact de malades ou de soignants. Le tribunal émet "un sérieux doute quant à la légalité de la décision en litige." Le jugement évoque "la localisation de la cuisine centrale du CHU", à Saint-Étienne. Et précise que le cuisinier de l'hôpital de Roanne travaille "dans un bâtiment annexe situé à l'extérieur de l'hôpital." Ils auraient donc beaucoup moins de risques de transmettre le covid-19 à des malades ou à certains de leurs collègues.

Le CHU de Saint-Étienne conteste la décision

C'est ce "sérieux doute" qui a conduit le tribunal à invalider la décision de suspendre ces agents. Son jugement les autorise donc à se rendre à nouveau au travail, et à percevoir de nouveau leurs salaires.

Mais le CHU de Saint-Étienne refuse de laisser ses deux agents concernés retourner travailler. Le directeur de l'établissement Olivier Bossard explique que "la position du CHUSE en l'espèce est celle d'appliquer la loi qui s'applique à tous les agents hospitaliers. Le CHU va donc contester la décision du juge de première instance."

A qui donner raison, à l'hôpital ou à ses agents pas vaccinés? Le tribunal administratif de Lyon rendra sa décision définitive sur l'obligation vaccinale des agents hospitaliers dans plusieurs semaines.


QUAND LES DOUBLES VACCINES MEURENT PLUS QUE LES NON VACCINES

Quand les doubles vaccinés meurent plus que les non-vaccinés…

François Stecher analyse les derniers chiffres de Public Health England sur les morts de la Covid. Et, le moins que l'on puisse dire, est qu'ils ne rassurent pas sur la prétendue protection que le vaccin apporte aux vaccinés. Démonstration par les chiffres officiels.

L’agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni – UK Health Security Agency – publie, comme l’agence de santé publique d’Angleterre – Public Health England – dont elle a repris une partie des fonctions et attributions, un intéressant rapport hebdomadaire de surveillance de la vaccination contre le Covid-19 (COVID-19 Vaccine Surveillance Report).

Intéressant, ce document d’une trentaine de pages l’est à plus d’un titre, et d’abord par ce qu’il ne contient pas, c’est-à-dire le revers de la médaille, la face sombre de la vaccination anti-covid, de ses effets secondaires et des décès qu’on peut lui imputer. Ainsi, s’il met bien en évidence les bénéfices observables de la vaccination pour réduire les formes sévères de la maladie et les décès, il ne permet en aucune façon de les mettre en balance avec ses conséquences réelles ou soupçonnées, et donc de présenter un tableau équilibré de la campagne, a fortiori de permettre une remise en cause ou à tout le moins une adaptation de la politique vaccinale.

Dans sa mouture de la semaine calendaire 42 (COVID-19 vaccine surveillance report – week 42 (publishing.service.gov.uk) parue le 21 octobre, elle couvre les semaines 38, 39, 40 et 41 ; il y a ainsi un tuilage des observations, et donc un premier effet de moyennage), un tableau a pu particulièrement attirer l’attention des lecteurs attentifs : la table n°2, qui donne le nombre de cas Covid reportés au cours de la période considérée selon la tranche d’âges et le statut vaccinal.

Les deux dernières colonnes donnent les incidences au sein des groupes de vaccinés « 2 doses » et non-vaccinés. Elles font apparaître une information peu diffusée par les médias mainstream, et qui est pourtant de nature à détruire totalement les justifications du pass sanitaire, sans parler de remettre en question la vaccination obligatoire pour les soignants.

Comme le montre l’extrait ci-dessus, l’incidence est bien plus élevée chez les vaccinés « 2 doses » que chez les non-vaccinés. Ayant fait ce constat, notre lecteur attentif pourrait être tenté de jeter un œil aux rapports plus anciens, afin de se rassurer, espérant qu’il s’agit d’un phénomène transitoire, et que la situation va se rétablir au bénéfice des vaccinés et de la politique vaccinale. Il trouvera par exemple, dans l’édition du rapport de la semaine 40 (COVID-19 vaccine surveillance report – week 40 (publishing.service.gov.uk)), la table n°2 suivante :

Le résultat auquel il parviendra pourrait malheureusement ne pas correspondre à ses attentes :

En effet, non seulement, le taux d’incidence est plus élevé chez les vaccinés « 2 doses », mais il semble bien que l’on ait affaire à une dégradation de la situation, pour toutes les tranches d’âges considérées. Il faudra évidemment, dans les semaines qui viennent, remettre l’ouvrage sur le métier, afin de confirmer ce qui est observé ici sur une période tout de même significative de huit semaines.

Ce qu’indiquent ni plus ni moins ces observations, c’est bien que les vaccinés « 2 doses » sont des bombes ambulantes et aveugles pour les non-vaccinés, et que la situation évolue selon une dynamique assez rapide et inquiétante – pas tout à fait ce que prêchent, le ministre Véran en tête, les apôtres du pass sanitaire


POURQUOI LE PASS SANITAIRE DEMONTRE L'ECHEC DE LA VACCINATION !!!

Le passe sanitaire est présenté, de façon paradoxale (mais n'est-ce pas le propre d'une propagande que de renverser la réalité), comme une grande réussite sanitaire et un outil de retour à la liberté. Ces "éléments de langage" savamment distillés et répétés autant par la classe politique que par les medias dominants sont devenus une nouvelle doxa : grâce au passe sanitaire, la France parviendrait à gérer harmonieusement les pics épidémiques. On en rediscutera évidemment dans quelques semaines. D'ici là, et sans même soulever le débat de la violation des libertés et de l'instauration d'un crédit social à la chinoise, il faut souligner que le passe sanitaire prouve aujourd'hui l'échec de la vaccination et du vaccin, et non sa réussite.

Le passe sanitaire, et nous allons le montrer, prouve l’échec du vaccin. Pour mieux le comprendre, il faut ici revenir aux titres de la presse il y a un an ou presque : lorsque le travail de labour mené par les paysans de la presse subventionnée pour préparer les cerveaux zombifiés a commencé avec un seul objectif, nous convaincre que le vaccin allait nous “sauver’.

Le vaccin et le “retour à la normale”

Pour illustrer cette très brève rétrospective, on se contentera de lister ce que la presse proposait avant le début réel de la campagne de vaccination comme perspective pour “l’après” :

Majoritairement, les esprits ordinaires ont reçu, à partir de l’automne 2020, un message massif, roboratif, répétitif, selon lequel le vaccin était la condition pour un retour à la normale, c’est-à-dire une vie sans masques, sans geste barrière, sans confinement. C’était au fond la promesse du vaccin que de nous ramener à une vie comme dans le monde d’avant. À cette époque, on ne parlait pas de passe sanitaire. Pas encore.

Le vaccin et l’immunité collective

Au début de la campagne de vaccination, on a même entendu la promesse qu’une vaccination de 80% de la population permettrait d’atteindre l’immunité collective. Pour le plaisir, on rappellera par exemple cette déclaration de Karine Lacombe, médecin de plateau bien connue :

De cette intervention télévisée, on retiendra là encore cette phrase essentiellement au raisonnement de la spécialiste :

Car “avec un vaccin efficace à 95%”, nul besoin de vacciner tous les Français afin d’assurer une immunité de groupe dans la population française.

Telle était la promesse servie à l’époque aux téléspectateurs : le vaccin Pfizer était efficace à 95% (si, si, c’était l’information officielle à l’époque) et, avec un vaccin aussi efficace, 60 % de la population vaccinée suffisaient à apporter l’immunité collective. Cela ne pouvait être faux, puisque c’était affirmé par Karine Lacombe, victime malheureuse des méchants complotistes obscurantistes.

Le raisonnement servi à l’opinion était donc simple : avec un vaccin aussi efficace, vacciner 60% des Français garantissait un retour à la vie normale.

Et 88,3% de vaccinés plus tard…

Nous sommes en octobre 2021 et, officiellement, 88,3% des Français éligibles à la vaccination ont reçu au moins une dose, c’est-à-dire près de 50% de plus que le seuil d’immunité collective annoncé par Karine Lacombe fin décembre 2020. Pour en être sûr, je cite l’excellent graphique de Covid tracker.

C’est quand même impressionnant ! Près de 9 Français sur 10 concernés par la vaccination ont aujourd’hui bénéficié d’au moins une injection. Il sont 17 sur 20 à avoir reçu deux doses. Avec un vaccin aussi efficace, ce pourcentage massif de vaccination devrait rendre le passe sanitaire inutile. Si le vaccin protégeait vraiment, et n’était pas un attrape-politicien de bas étage, nous n’aurions pas besoin de passe sanitaire pour revenir à la vie normale.

Et pourtant, Gabriel Attal, porte-parole de Castex, a déclaré hier :

« Je ne vois pas comment une adaptation du passe sanitaire pourrait intervenir au 15 novembre. Il y a une reprise de l’épidémie. »

Tiens donc ! on vaccine massivement, il ne reste plus de 12% de Français non vaccinés, c’est-à-dire quelques Mohicans, mais il faut continuer à les exclure des lieux publics pour éviter que l’épidémie, qui reprend, ne reprenne encore plus vite…

Mais alors, l’immunité collective, le retour à la normale, avec le vaccin, c’était du bidon ?

Un vaccin inefficace, mais chut ! ne surtout pas le dire

Il existe en fait deux explications simples (et bien connues de nos lecteurs) au fait que le passe sanitaire soit présenté aujourd’hui en France comme le recours contre la montée d’une cinquième vague : le vaccin ne marche pas, et la vaccination a engraissé l’industrie pharmaceutique sans effet réel prouvé sur la santé publique. Les instances sanitaires ont beau expliquer que le COVID 19 tue moins avec le vaccin (mais en passant sous silence les effets secondaires du vaccin lui-même), une réalité s’impose : la vaccination ne permet pas le retour à la vie normale.
Ajoutons que, dans le temps où le gouvernement a imposé le dogme du “tout vaccin”, il a interdit tous les traitements susceptibles de réduire la mortalité du fait du virus. Les statistiques dont nous disposons aujourd’hui sont donc toutes tronquées et tordues par cette décision fructueuse pour les laboratoires, mais cataclysmiques pour la santé publique.
Une deuxième explication s’impose pour comprendre la permanence du passe sanitaire malgré une vaccination maximale : le passe sanitaire obéit à un prétexte sanitaire, mais sa justification réelle est politique. Il s’agit d’habituer les Français au contact tracking théorisé par Klaus Schwab dans son livre sur le Great Reset, et de stabiliser un marché investi par Thalès.
Mais les mêmes qui font aujourd’hui l’apologie du passe sanitaire en oubliant la promesse d’un retour à la normale il y a 9 mois avec 60% de vaccinés font semblant de ne pas voir que le passe sanitaire durera bien au-delà de l’été 2022 si nous ne nous battons pas pour y mettre fin.